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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.

09 Feb

Patricia

Publié par Sandro Nino

Patricia
Patricia

Une petite histoire venant d'un internaute se nommant ALRAY

Premier Chapitre :

Du plus lointain de ses souvenirs Alain était attiré par les chaussures et les pieds féminins. Déjà, à l’école primaire, une émotion intense l’envahissait dès qu’il apercevait les chaussures de sa Maîtresse d’école. Une émotion qui se transforma fatalement en fantasme. Il imaginait qu’elle le faisait passer sous son bureau, se déchaussait et le soumettait au parfum hypnotique de ses pieds gainés de bas noirs.
Adolescent, il n’arrivait pas à assumer ouvertement cette inclination, il en avait honte. Poussé par un désir irrépressible, il avait appris à saisir la moindre opportunité pour satisfaire ses pulsions. Les premières chaussures qu’il renifla en cachette furent celles d’une tante qui avait des pieds magnifiques, puis il y eut celle des mères de ses copains, et plus tard, ce fut le tour des petites amies lorsque l’occasion se présentait…

Ce n’est qu'à l'âge adulte, grâce à l’internet, qu’il découvrit les sites fétichistes et qu’il réalisa que de nombreux hommes partageaient cette même passion finalement très commune. Cela ne lui fût pourtant pas d’un grand secours, au quotidien, il se sentait toujours aussi isolé, incapable d’avouer ses pulsions aux femmes qu’il fréquentait.
Il envisagea même d’essayer de se débarrasser de cette obsession en allant consulter un Psy. Puis, au contraire, il voulut réaliser ses fantasmes pensant que cela le libèrerait. Faire appel à une professionnelle ? Il vivait dans une petite ville où ce genre de praticienne manquait.

Ainsi en allait-il de sa condition de fétichiste lorsque Patricia arriva dans le service où il travaillait. Il « flasha » dès la première minute où elle apparut dans le bureau accompagnée du chef de service qui venait pour la présenter.
Il faut bien admettre que c’était une belle femme. Elle avait beaucoup d’allure, devait approcher la quarantaine alors qu’il en avait à peine vingt-cinq, mais la différence d’âge ne l’empêchait nullement de la trouver très à son goût.
Elle était mince, toujours habillée avec raffinement, maquillée sans excès et bien proportionnée. Lorsqu’elle se déplaçait dans les couloirs, son arrivée était identifiable grâce au petit martèlement caractéristique de ses talons hauts. Bref, Patricia alimenta bientôt tous ses fantasmes…

Quelques mois passèrent et leur relation évolua naturellement parmi un petit groupe de collègues. Patricia était une femme sûre d’elle, il ne fallait pas lui en raconter. Elle avait beaucoup de répartie et ne se démontait pas à la première blague un peu salace, du genre de celles qui fusent d’ordinaire autour de la machine à café. Si elle n’en rajoutait pas, elle en riait volontiers.
Comme elle vivait seule, il courut bientôt sur elle une réputation de « croqueuse d’homme » ; une rumeur sans nul doute alimentée par quelques déçus qui lui tournaient autour et qui auraient bien aimé se faire accrocher à son supposé tableau de chasse.
Patricia n'ignorait pas ces rumeurs mais elle s’en moquait. A vrai dire, le seul fait de laisser planer le doute sur ses performances semblait beaucoup l’amuser.

Au bureau, à la cantine, au café, dans les couloirs, Alain ne manquait jamais une occasion d’observer discrètement les jambes et les chaussures de sa collègue ; c’était presque devenu une seconde nature. Elle avait la manie lorsqu’elle croisait les jambes de balancer son pied, et souvent sa chaussure glissait et découvrait légèrement son talon. Son regard plongeait alors irrésistiblement et il priait le ciel de faire chuter le bel écrin dans l’espoir d'en apercevoir davantage.

Cela suffisait alors à égayer sa journée car avec le temps il s’était fait une raison. Fantasme et réalité sont deux choses différentes, une femme utilisant le potentiel érotique de ses pieds pour soumettre un homme n'était qu'une illusion. Tous ces fascinants petits jeux de chaussure qui l’émouvaient tant n’étaient en fait que pures coïncidences. Croire qu'il s'agissait d'une attitude délibérée était illusoire. C’est sûrement pour cette raison qu’il ne vit rien venir …


A suivre ...

La suite ...

Un matin, en arrivant au bureau, Patricia demanda à Alain s’il pouvait la raccompagner après le travail car sa voiture était en révision.

Ce jour-là, était-ce le fait du hasard, il aperçut à plusieurs reprises sa collègue jouant négligemment avec sa chaussure. Cela lui mit les nerfs en pelote au point de l'empêcher de se concentrer sur son travail. Ses pensées avaient été absorbées par le fait de savoir jusqu’où la chaussure allait glisser.
A quel moment finirait-elle par lui échapper et tomber au sol ? Apercevrait-il alors son pied, ses orteils au travers des collants ? Seraient-ils peints ou encore, partiellement dissimulés par un renfort trop épais ? Jusque-là, rien de choquant ou d’inacceptable, juste un érotisme décalé.
Mais bientôt, des questions plus inavouables. Transpirait-elle dans ses chaussures ? Quel parfum ? Irrésistible, sans doute ! Bref, des sentiments que seul un fétichiste pouvait comprendre.

Ayant appris la patience, il savourait le moment où, avec les beaux jours, elle lui offrirait inévitablement le spectacle de ses pieds dénudés. Mais, l’été était encore loin. Cette soudaine opportunité lui procurerait peut-être une occasion inattendue ?
C’est dans cet état d’esprit qu’il se trouvait en arrivant devant chez Patricia. Son calcul se révéla exact, elle l’invita même à prendre un café pour le remercier de l’avoir raccompagnée. Evidemment, il la suivit sans se faire prier.
Ce serait bien le diable, pensa-t-il en lui emboîtant le pas si elle ne se déchaussait pas en entrant chez elle ?
Qui sait, avec un peu de chance, peut-être qu’il aurait l’occasion de l’approcher, de la respirer, ne serait-ce qu’un bref instant ?
Avec le temps, il avait appris les techniques les plus sournoises comme demander à se laver les mains. Souvent, la corbeille à linge sale se trouvait dans la salle de bain et une rapide inspection permettait de dénicher une paire de collants portés… C’était très mal élevé, bien sûr, mais tellement irrésistible ! La peau de l’ours était déjà vendue, il en était déjà émoustillé.

Alain aurait pourtant dû se souvenir que les choses se déroulent rarement comme on les prévoit. En entrant dans l’appartement, la place était nette. Dans l’entrée, pas la moindre présence de chaussure ni même un petit chausson.Patricia le fit passer au salon, lui indiquant un large fauteuil avant de disparaître dans la cuisine.
Quelques minutes plus tard elle revînt chargée d’un plateau, servit deux tasses de café, puis, vint s’asseoir sur le canapé lui faisant face. Ils commencèrent alors à bavarder de la pluie et du beau temps ainsi que de leur journée au bureau.
Il se sentait frustré car Patricia lui offrait une vue plongeante sur ses jambes, mais en tête à tête il n’osait pas contempler l’objet de ses désirs.

Fidèle à son plan, il songeait à demander le chemin des toilettes lorsque, dans un mouvement inattendu, Patricia se déchaussa et replia prestement ses jambes sous elle. Bien que n’ayant pas eu le temps d’apercevoir ses pieds avec précision, ses sens se mirent en alerte. Ils étaient hors de sa vue mais il devinait qu'elle avait entrepris de les masser délicatement.
Son imagination faisait le reste. Dans ces conditions, comment poursuivre une conversation ? C'eut été encore possible sans ces escarpins gisants sur le tapis ! Un avait légèrement pivoté dans sa chute et s’offrait impudiquement à son regard. Il pouvait presque en apercevoir tout l’intérieur.

Avec précaution, pour ne pas éveiller la méfiance, il changea de position à la recherche d’un meilleur angle de vue. L’espace d'un instant il perdit le fil de la conversation. Lorsqu’il releva les yeux, il croisa le regard de Patricia qui lui décochait un aimable sourire. Cela le troubla davantage mais il voulut croire qu’elle n’avait rien remarqué.

- On a des journées de fous en ce moment, tu ne trouves pas ? Se plaignit-elle. Aujourd’hui, je n’ai pas arrêté, j’ai les pieds en compote !
- Cela ne doit pas être facile de marcher avec des talons hauts toute la journée ! Risqua-t-il pour ne pas donner l’impression d’esquiver le sujet.
- Oh, j’y suis habituée mais ça fait quand même du bien de se déchausser ! Acquiesça-t-elle avec une moue de soulagement.

Puis, elle ajouta, prenant un air un peu confus :

- J’espère que cela ne te dérange pas ?
- Pas du tout ! Répondit Alain. C'est bien naturel !
- De toute façon, je ne me verrais pas aller au bureau avec des chaussures plates ! Reprit-elle alors. Les talons hauts, c’est quand même plus joli, tu ne trouves pas ?
- Oui, sans doute ! Admit-il avec hésitation. C'est surtout une question de hauteur ! On dit que c’est mauvais pour le dos !
- Ceux-ci ne sont pas très hauts ! Rectifia-t-elle en regardant ses talons hauts abandonnés au sol. J’en ai de plus hauts mais je les garde pour d’autres occasions, je ne peux pas les mettre au travail ! Ajouta-t-elle avec un petit sourire complice.

Patricia marqua une légère pause et parut chercher ses mots. Puis, elle lança :

- D’ailleurs… j'ai remarqué que tu regardes souvent mes chaussures, au bureau ? Enfin, après un deuxième silence : Elles te plaisent ?

Sur l’instant, il faillit s’étrangler. Par bonheur, il venait de saisir sa tasse de café. Il avala une gorgée afin de se donner un peu de répit. Que voulait-elle dire avec ce : « Elles te plaisent » ?
Fallait-il se lancer dans des explications hasardeuses ? Sa question était là qui attendait une réponse… Il fallait donner le change !

- C’est vrai que j'ai remarqué que tu portes toujours des talons hauts ! Répondit-il. Tu en as beaucoup ?
- J’adore ! C’est mon péché mignon ! Assura-t-elle avec naturel et un plaisir non feint.

Alain était sur la défensive. Aurait-il à ce point manqué de discrétion pour qu’elle lui fasse cette remarque ? Cela signifiait-il pour autant qu’elle avait découvert son inclination ?

- Pour tout dire, j’en ai un placard plein ! Poursuivit-elle sur sa lancée.
- Tant que ça ? Dit-il, affectant un intérêt poli.
- Je t’assure ! Répondit-elle avec une mimique. J’en ai que je garde depuis des années ! Je les mets de temps en temps, je n’arrive pas à m’en séparer ! Puis, avec malice : Tu veux les voir ?
- Non, ça va, je te crois ! Déclina-t-il poliment.
- Ça vaut la peine, pourtant ! Pouffa-t-elle. C’est une véritable collection !



A suivre ...

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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.