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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.

06 Feb

Jeannot le SDF

Publié par Sandro Nino

Jeannot le SDF

Je m’appelle Jeannot, 35 ans, SDF depuis bientôt quatre longues années. Enfin je ne vais pas vous raconter ma vie, mais bon, une succession de conneries, des chances que j’ai ratées, une femme que j’ai perdue à cause de l’alcool, des bagarres, les flics, un peu de taule… Et puis quand tu sors, plus personne ne te connait, plus de boulot, plus d’endroit où dormir. Alors, la rue s’est naturellement proposée à moi, comme une évidence, ou plutôt comme un gouffre dans lequel tu es aspiré, comme dans un rêve dans lequel tu tombes et tu te réveilles lorsque tu t’es écrasé.

Un jour par une belle journée d’été, assis sur le perron d’une porte dans les rues piétonnes de la ville, j’aperçu une jolie petite môme qui se promenait dans la rue avec un rat dans les mains et qui s’amusait à effrayer les bourgeois du quartier. Je fus ébloui par sa petite frimousse de diablesse au regard à la fois provocant et aguicheur. Elle avait des yeux de biche, une jolie bouche à croquer, les cheveux un peu en bataille, un corps de déesse. Elle devait avoir 17 ou 18 ans.

Bientôt elle s’approcha de moi, et on commença à se taper la discute. Ses propos étaient rassurants, gentils mais pas démagos. Puis elle est allée me chercher une bière et m’offrit une cigarette. Bientôt comme dans un rêve qui se termine trop vite, dans lequel tu essaies de te rendormir pour le terminer à ta façon, elle disparut.

J’étais sous le choc, d’habitude les gens viennent te voir comme pour se prouver à eux-mêmes qu’ils ne sont pas si mauvais que cela, et ils t’offrent la pièce satisfaits d’avoir faire leur bonne action du jour, ou tout simplement pour que ce geste leur porte chance et que le lendemain, pour la peine, ils gagneront au loto.

J’ai dû attendre plusieurs jours avant qu’elle ne réapparaisse. Nous avions une relation de partage, elle me racontait ses petits malheurs, et les plus gros, son père avec qui elle ne parvenait pas à communiquer, ses amours de jeunette.

Un jour elle revint, toujours accompagnée de son rat avec qui je commençais à fraterniser, vêtue d’une robe légère. Elle était chaussée de jolies sandales à talons compensés qui laissaient découvrir de biens jolis pieds aux orteils parfaitement dessinés, habillés d’un vernis rouge délicatement posé. Ses talons avaient la peau douce comme de la soie.

Ha ! J’avais oublié de vous dire que j’ai toujours été attiré par les jolis pieds féminins. Sans être fétichiste au sens strict du terme, l’attirance que j’ai pour les pieds des femmes est comme une adoration, une preuve de l’amour que je porte à la gente féminine. Leurs pieds sont la terminaison de leur corps adoré, où lorsqu’ils sont beaux sont la signature finale de la perfection. Tout en discutant je ne parvenais pas à quitter mon regard de ce spectacle, et, nerveusement mes yeux balayaient rapidement entre ses yeux et ses pieds.

Bientôt elle remarqua mon petit manège et me demanda, sans détours :

« Tu aimes mes pieds Jeannot ? «

Rouge de confusion, je lui avouais néanmoins mon attirance. Loin de s’offusquer elle m’avoua qu’elle adorait prendre soin de ses pieds, et que les garçons de son âge ne pensait qu’à lui reluquer les fesses ou les seins.

A partir de ce jour elle revint presque quotidiennement, et je passais mon temps à l’attendre le cœur battant. Mes nuits étaient peuplées de la vision de cette adorable jeune fille, petite princesse aux jolis pieds, au caractère provocateur, antisocial, comme dans la chanson du groupe Téléphone. Chaque fois elle revenait avec de jolies chaussures qui laissaient apercevoir une partie de ses pieds. Un jour les talons, une autre fois les orteils, ou parfois même, avec des escarpins où l’on ne pouvait voir que la naissance de ses orteils.

Ce qui il avait de particulier dans cette relation est que je n’avais pas le sentiment qu’elle s’amusait à m’allumer. Non, j’avais l’intime conviction qu’elle faisait cela pour me faire plaisir, pour me donner du baume au cœur dans mes journées de pauvre diable. Notre relation était sincère, sans détours, directe, équilibrée, saine et remplie d’humanité. Je passais aussi beaucoup de temps à l’écouter, à lui remonter le moral. J’essayais de lui faire du bien à cette petite poulette, ce petit chaton ébouriffée par la vie.

Un jour elle me dit que si j’en avais envie je pourrais dormir une nuit dans une maisonqu’un de ses amis lui avait prêté. Je ne me fis pas prier, et elle me donna un rendez-vous pour le lendemain à une adresse qu’elle avait griffonnée sur un ticket de bus.

Le lendemain donc, je me présentais à l’endroit indiqué non sans être passé par les douches municipales, histoire de me rendre présentable et propre, avec un bouquet de fleurs que j’avais chipé au fleuriste du coin.

C’était une petite maison dans les faubourgs de la ville, la lueur d’une bougie éclairait une minuscule fenêtre au rez-de-chaussée. Je sonnais, la porte s’entrouvrit et elle apparue sur le seuil et me dis « Entre mon Jeannot ! »

Dès que je franchi le seuil de la porte je fus saisis par une odeur d’encens, du patchouli il me semble, un bon jazz de Sydney Bechett diffusait une musique nostalgique, tu sais ce genre

d’harmonie qui te fait remémorer tous les gens que tu aimes ou qu’ils ne sont plus. Des bougies ça et là diffusaient une lumière diffuse et tremblotante, comme des fantômes hésitants.

Elle était là la fille de mes rêves, allongée sur un vieux canapé défoncé, ce genre de canapé qui a vécu, qui a vu des amours passés qui se sont évanouis dans le temps et les souvenirs.

Elle tenait un verre dans ses mains, elle portait une robe de soie légère, ses jambes étaient ornées de bas, ces bas d’antan que portaient les femmes des années 60, couleur chair très transparents. Ses pieds chaussés d’escarpins de cuir soulignaient la beauté de ses jambes fines et galbées comme les courbes d’un ange. Elle me dit de m’installer en face d’elle sur un pouf qui fleurait bon le vieux cuir, et de me mettre à mon aise. Elle remarqua le soin de ma tenue, et me complimenta avec un sourire de poupée heureuse.

« Alors Jeannot tu aimes mes pieds ? Alors sers-toi. J’ai envie que tu me fasses frémir avec ta langue et ta bouche, il ya trop longtemps que j’en ai envie « me dit-elle.

Je n’en croyais pas mes oreilles, mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, et déjà mon sexe entama une belle érection. Je m’approchais tout doucement, ses escarpins laissaient visibles ses talons et la naissance de ses orteils. Je commençais à lui caresser tendrement ses talons à travers ses bas et bientôt je passais ma langue entre ses pieds et le cuir de ses chaussures. Immédiatement ma langue capta la salinité émanant du mélange de cuir et de bas chauffés. Elle me demanda si cela me plaisais ainsi, car elle avait porté ses escarpins depuis ce matin et avait sillonné la ville en tous sens. Pour toute réponse je fis la même chose avec son autre pied. Elle ferma les yeux.

Bientôt je lui retirais ses escarpins et reniflais ses orteils exquis à travers ses bas moites de transpiration. L’odeur était merveilleuse, pas trop forte mais présente et divinement féminine ce qui décupla mon excitation. Elle caressait mon nez de ses pieds odorants de la pointe des orteils aux talons, doucement un à un, puis rapidement comme pour essuyer ses pieds sur mon visage. J’étais dans un état de bonheur extrême. Puis elle retira ses bas un à un qu’elle passa ensuite sur mes narines avec un petit sourire espiègle. Elle me demanda de m’allonger à plat dos devant elle, je m’exécutais donc. Elle mit son talon droit dans ma bouche ouverte et le tourna de droite à gauche comme pour le visser, et, de son autre pied, commença à caresser mon sexe à travers la toile de mon pantalon. Je rentrais dans une folle excitation, jamais même avec mon ex-épouse je n’eus l’occasion de ressentir une telle extase sexuelle.

Ses talons étaient doux et exquis, l’odeur était plus forte à cet endroit, et le goût salé s’intensifia, mêlé à celui du cuir de bonne qualité.

Bientôt elle se mit dans la position du « 69 » sortit mon sexe de mon jean. Ses pieds étaient au niveau de ma bouche et je les suçais, léchais, reniflais comme un fou, pendant ce temps elle entama une fellation experte, sa bouche était douce et voluptueuse. J’étais au bord de la jouissance et très vite elle me pinça le sexe à la base du gland pour réfréner mes ardeurs.

Elle souleva sa robe, et je vis qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. La vue qui s’offrait à moi était splendide. Son sexe ruisselait, ouvert comme prête à me recevoir. Elle avait des petites lèvres épaisses et charnues (et une toison bien fournie ce qui n’était pas pour me déplaire), que je m’empressais de sucer et aspirer avidement. Ses fesses bougeaient dans tous les sens comme pour s’enfoncer sur mon visage trempé, dégoulinant du suc de son excitation. Elle s’enfonça sur mon nez et dans ma bouche et ses lèvres gonflaient encore plus, je les happais dans ma bouche ce qui lui arracha un long soupir de plaisir. Pendant ce temps elle continuait à me sucer goulument, et mes mains empoignaient ses fesses afin d’écarter davantage son sexe.

D’un coup elle s’assît sur mon sexe et s’enfonça jusqu’à la garde. Elle allait et venait doucement, puis rapidement. Elle gémissait de plaisir, et pendant ce temps je suçais ses orteils odorants et reniflais ses bas que j’avais gardés dans mes mains.

A ce rythme effréné de concert nous jouissions comme des bêtes en poussant des cris et des râles de plaisirs.

Jamais de ma vie je n’avais autant si bien fait l’amour, jamais autant désiré une femme. Nous nous endormîmes dans la pièce d’à côté, enlacés tous les deux, repus.

Nous nous sommes revus souvent dans la rue, et de temps à autre elle me recevait chez son copain lorsqu’il lui laissait la maison. Je n’ai bien évidemment jamais envisagé un avenir avec cette fille, bien que j’en fusse très amoureux. Certainement par mon sens inné de l’instinct de conservation car un matin elle vint m’annoncer qu’elle devait quitter la ville, et qu’elle ne reviendrait sans doute jamais. Mon cœur se serra dans ma poitrine et elle disparut à l’horizon.

A mes pieds elle avait laissé un carton à chapeaux que je m’empressais d’ouvrir. Une collection de bas de toutes les couleurs y était posée. Lorsque je plongeais mon nez dedans mes narines furent saisies par l’odeur merveilleuse de ses pieds. Cette fois-ci elle avait dû les porter longtemps car l’odeur était plus forte que d’habitude, certainement en prévision de son départ. Ainsi pendant de longs mois je pus renifler à souhait ses merveilleuses effluves féminines. Je conservais ses bas dans des sacs hermétiques à l’abri des intempéries dans le carton à chapeaux lui-même protégé dans une consigne à la gare.

Un trésor pareil on doit en prendre soin…

Jeannot le SDF
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