Au cinéma

Je lui avais dit que je viendrais en moto, mais le temps exécrable en ce moment perdurait, et comme j’avais vraiment envie d’aller jusqu’au bout de nos fantasmes, j’ai décidé de prendre le TGV puis l’autocar pour me rendre à Annemasse.

J’avais vraiment hâte de la rencontrer cette jolie fille, brune, sportive, un corps de reine, libre car divorcée. Nos premiers échanges ce sont fait sur Instagram. Elle postait des photos et vidéos de ses pieds, petons d’une beauté inouïe. Nous avons rapidement sympathisé, à tel point qu’il y a quelques jours j’ai réceptionné des mis bas qu’elle avait porté pour me faire plaisir. En ouvrant l’enveloppe et malgré que l’odeur était estompée par le transport, j’ai décelé son odeur de femme, exquise, envoutante, terriblement excitante.

Arrivé à destination, j’ai pris un taxi pour me rendre à notre point de rencontre. Nous nous étions donné rendez-vous dans un cinéma, celui où elle tournait ses vidéos, dans lesquelles elle nous montrait ses petons, nus ou habillés de collants. Ce fameux cinéma avec ses fauteuils en tissus rouge vif, sur lesquels elle frottait ses pieds. Ses vidéos sont terriblement excitantes, à chaque fois elles m’entraînent des érections que j’ai du mal à calmer si ce n’est quand me masturbant avec frénésie…

Mon cœur battait à tout rompre arrivé devant le cinéma. Bien entendu la séance était commencée et le petit jeu était de la trouver. La salle était quasiment vide en ce début d’après-midi. Je l’ai reconnu immédiatement. Elle a eu la bonne idée de se mettre au fond de la salle en plein milieu de la rangée, et il n’y avait pas âme qui vive jusqu’à 3 rangées devant elle.

Avant de m’installer sur la rangée située juste devant elle, je vis un petit sourire se dessiner sur son joli visage. Bientôt je sentais que quelque chose se tramait derrière mois. J’entendis un bruit de chute. Vraisemblablement elle devait ôter ses escarpins, puis je sentais sur le dossier de mon fauteuil des frottements. La tension montait, qu’allait-elle me réserver ?

Soudain elle me plaqua avec force un de ses escarpins sur le nez en me sifflant à l’oreille :

«  C’est à ton goût mon ami ? «  

Elle me plaquait si bien contre le dossier de mon siège que je n’avais d’autres alternatives que de prendre une grande inspiration afin de reprendre mon souffle. L’odeur était bien présente, une odeur de cuir chauffée, exquise. Une profonde excitation m’envahie d’un coup, sans crier gare, soudaine et majestueuse. Pendant ce temps elle me caressait les oreilles, puis passa sa main sous ma chemise pour caresser mon torse doucement, puis déposa un langoureux et humide baiser dans mon cou, et me dit «  Viens près de moi maintenant »

Je ne me fis pas prier davantage et je m’installais à côté d’elle en laissant un siège vide entre nous.

Elle portait un tailleur rouge très stricte (pour me faire plaisir) ses jambesmusclées et racées étaient gainées de bas couleur chair bronzée très fins et transparents. Elle était encore plus belle que sur les photos. Son visage avait ce petit côté sévère que j’avais décelé sur une photo de son Instagram. Elle me demanda bientôt de lui retirer son autre escarpin.

Je me mis à genou et tout doucement je lui retirais sa chaussure, et aussitôt elle m’ordonna d’ouvrir ma bouche. Les nylons qui gainaient ses pieds renforçaient la beauté de ses orteils délicatement vernis d'un rouge vif.  Elle y enfonça son pied, pendant que son autre pied se posait sur mes narines. La saveur salée de son pied inonda mes pastilles gustatives. Visiblement elle devait avoir porté ses bas plusieurs jours car le goût et l’odeur étaient intenses, mais pas écœurantes, loin de là, bien au contraire, l’odeur naturelle de sa peau était sublime, aphrodisiaque. Mon sexe dans mon jean me faisait mal, tellement mon érection était envahissante. Elle posa son pied dessus et me dit «  je vois bien que je t’excite petit coquin, qu’elle superbe protubérance que je sens-là ! « 

 Elle dégrafa ses bas et me présenta ses merveilleux petons. Pendant une bonne quinzaine de  minutes je lui léchais doucement ses plantes et lui suçais ses  orteils chacun à son tour en leur prodiguant comme une fellation. Je voyais bien que mon traitement l’excitait car elle commença à se toucher entre les jambes doucement en fermant les yeux. Ses orteils étaient délicieux, je passais ma langue entre chacun deux et de main je lui caressais doucement les plantes.

Soudain elle ouvrit ses jambes et malgré la pénombre je voyais qu’elle ne portait pas de culotte. Elle m’attrapa par le cou et colla mon visage sur son sexe. Elle était toute mouillée, son sexe ruisselait de de désir, ses petites lèvres ouvertes et gonflées étaient particulièrement charnues, et ce n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. J’oubliai donc ses petons pour m’occuper à aspirer et lécher les lèvres de son sexe et titiller son clitoris qui pointait fièrement. Ma langue s’enfonçait profondément en elle, au plus profond que je pouvais. Je fis des aller et retour comme une pénétration, pendant que de mon index j’entrepris de l’enfoncer tout doucement dans son anus qui s’était dilaté. Ce petit jeu de langue, et de doigt dans son anus ne dura pas plus de deux minutes, car à un moment elle se raidit en contenant un cri et en jouissant dans ma bouche. Son sexe était ruisselant, ouvert et dilaté. Je pris ses bas et essuyais son sexe trempé avec. Ce mélange d’odeur et d’humidité devra me satisfaire au plus haut point par la suite…

De mon côté j’étais terriblement excité, tellement que je faillis jouir dans mon pantalon. Bientôt elle me dit de m’assoir tout à côté d’elle, de baisser mon pantalon, et me tendit ses bas odorants et humide de son sexe. Elle saisit mon sexe dans sa main et me dit «  oh mais tu as une bien belle queue mon ami ! »

Elle entreprit de me faire une superbe fellation pendant que je reniflais ses bas. Ce jeu-là est mon péché mignon, quoi de plus excitant qu’une jolie femme en train de me sucer pendant que je renifle ses nylons imprégnés de l’odeur de ses pieds et de son sexe ? Sa bouche était douce et chaude, elle y enfonçait ma queue au plus profond qu’elle put, et de son autre main me masturbait avec sa main humide et chaude.

Deux minutes plus tard je jouissais en me contorsionnant pour ne pas hurler de bonheur.

Le film annonçait son générique de fin. Nous n’avions rien vu, et les quelques spectateurs dans la salle n’avaient rien vu non plus, ni entendu quoi que ce soit  de nos furieux ébats. Quoi de mieux qu’une  salle de cinéma quasi déserte pour s’adonner à ce genre de petits jeux ?

Je pense que nous nous reverrons me dit-elle, j’ai vraiment envie que tu me fasses l’amour. En attendant vas-y tu vas rater ton train !