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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.

11 Aug

En déplacement professionnel

Publié par Sandro Nino

En déplacement professionnel

J’étais fourbu, rincé. La réunion semestrielle avait durée jusqu’à une heure du matin, et le directeur commercial nous avait matraqué avec des objectifs commerciaux irréalisables, bien entendu. Heureusement je m’étais débrouillé à obtenir une chambre dans un hôtel loin du centre-ville, ou personne ne voulait aller. Ainsi je n’avais pas en plus, à supporter les grivoiseries et les rires gras de mes collègues.

En arrivant à la réception je commandai un double scotch histoire de m’assommer encore un peu plus pour mieux dormir ensuite. Je m’installai dans un coin tranquille du bar et deux minutes plus tard on m’apporta mon whisky. Une musique de jazz en sourdine apaisait mes sens. A cette heure de la nuit le salon était désert et je m’apprêtais bientôt à rejoindre ma chambre, quand j’entendis des rires étouffés. Je tournai la tête et je m’aperçus qu’il y avait une autre pièce dans un coin reculé du salon. Curieux de nature, je m’approchai à pas furtifs, et je vis deux jeunes femmes installées côte à côte sur un canapé deux places. Elles ne me virent pas, les lumières étaient plus que tamisées et elles étaient trop occupées à pouffer de rire. Elles avaient l’air très joli, toutes deux de taille élancées, blondes, cheveux assez court. Elles étaient en jupe et chemisier, escarpins, bas très fins qui me permirent d’admirer la beauté de leurs jambes. Sans doute des femmes d’affaires en déplacement professionnels.

Soudain l’une des deux, mis une main sur la cuisse de l’autre et son autre main passa autour de son cou pour lui déposer un doux baiser sur la bouche. Surprise l’autre femme fût un peu interdite pendant cinq secondes, mais d’un mouvement lent et sûr attrapa l’autre par la taille et lui prodigua un long et sensuel baiser.

Ce baiser dura bien deux longues minutes. Elles s’y employèrent avec frénésie, tendresse et volupté mais en même temps je décelai une certaine gourmande sauvagerie. Je m’approchai un peu plus pour voir leurs langues s’entremêler avec fougues, leurs mains fébriles remontant sur leurs cuisses, et leurs seins à travers le chemisier.

Ce spectacle commençai à m’exciter, j’ai toujours eu envie de voir deux femmes s’embrasser, se faire l’amour, et là devant moi, ces deux créatures de rêve s’en donnaient à cœur joie.

Mais bientôt un bruit de vaisselle cassé stoppa net leurs ébats, et j’en profitais pour m’éclipser discrètement. En passant devant le bar, je vis le garçon confus et affairé à ramasser la casse.

Je remontai dans ma chambre me déshabilla pour me prendre une bonne douche. Le jet bien chaud me fit beaucoup de bien, et en repensant au spectacle auquel j’avais assisté une érection commença à naître et je me mis donc à me masturber doucement et voluptueusement.

J’enfilai un pantalon de jogging et je décidai d’aller prendre l’air sur le balcon. Nous étions fin juin et il faisait déjà très chaud, la nuit était douce et silencieuse. Bientôt j’entendis des rires étouffés dans la chambre juste à côté de la mienne.

Serait-ce les deux filles de tout à l’heure ?

Agile comme un chat et voulant en avoir le cœur net, j’enjambai rapidement le balcon pour sauter sur la pelouse cinquante centimètres plus bas, et j’escaladai tout aussi rapidement et silencieusement le balcon d’où venaient les bruits, et me cachai derrière un montant du mur. Ma position me donnait une vue plongeante sur le lit situé à peine à trois mètres de mes yeux.

C’était bien les deux créatures de tout à l’heure. Des bougies étaient allumées un peu partout dans la chambre, ce qui donnait une lumière tout à fait sensuelle, mais suffisante pour voir avec netteté. Elles étaient allongées toute les deux sur le lit, nues comme au premier jour. L’une était allongée sur le dos, à caresser doucement les cheveux de l’autre dont la tête était posée sur son ventre. Pour plus de facilité à apprécier ce qui va suivre, on va dire que celle qui était allongée s’appelait Paty et celle qui avait sa tête posée sur le ventre de Paty s’appelait Lula. Lula parlait doucement à Paty, sa bouche était juste au-dessus du mont de vénus de Paty, dont le sexe était entièrement rasé.

  • Il y avait longtemps que j’attendais ce moment tu sais ! dit Paty
  • Moi aussi ma chérie. Tous ces mois à attendre furent longs et pénibles répondit Lula
  • J’ai très envie de toi, de goûter chaque centimètre de ta peau
  • De mes pieds aussi ? n’est-ce pas petite coquine !
  • Oh, oui tes pieds ! tu connais mon attirance pour tes jolis pieds.
  • Tu es belle Paty, j’ai envie de toi moi aussi !
  • Viens, embrasse-moi s’il te plaît encore et encore !

J’étais sous le charme de cette conversation. Outre le fait de voir deux femmes nues qui s’apprêtaient sans doute à faire l’amour, elles parlaient de leurs pieds ! Et toutes les deux avaient des pieds de rêves, aux jolis orteils vernis de rouge. La cambrure était parfaite, et j’imaginais une peau douce et satinée.

Elles recommencèrent à s’embrasser comme des diablesses, puis se mirent tête-bêche. Chacune attrapa les pieds de l’autre. Elles se sucèrent les orteils avidement, se léchèrent les plantes à grand renfort de salive chaude. Je jetais un rapide coup d’œil autour de moi. Il n’y avait personne, aucune fenêtre ne donnait de la lumière, alors, n’en pouvant plus je sortis mon sexe pour me masturber doucement. Ce spectacle dura un bon quart d’heure. Elles étaient vraiment amoureuses l’une de l’autre.

Bientôt Paty attrapa un petit godemichet le suça pour l’enduire de sa chaude et abondante salive, puis tout doucement le frotta sur le sexe ouvert et ruisselant de Lula. Lula avait un sexe particulièrement visible. Ses petites lèvres très proéminentes, étaient gonflées de désir. Tout doucement Paty l’enfonça dans son vagin pour faire de lents mais profonds aller et retour. Lula poussa des petits cris se trémoussa dans tous les sens et fini par jouir en criant son bonheur.

  • Viens au-dessus de moi comme tu aimes lui dit Lula

Paty ne se fit pas prier et à califourchon au-dessus de la tête de son amie, elle frotta son sexe avec frénésie sur tout le visage de Lula. Je voyais le visage de Lula briller de tout le liquide qui ruisselait du sexe de Paty. Tout en continuant à se frotter Paty donna le gode à Lula. Celle-ci en même temps que Paty se frottait sur son visage, lui introduit doucement le gode dans l’anus qui rentra avec une facilité incroyable. Ce petit manège dura à peine deux minutes puis Paty hurla son bonheur.

Elle s'effondrèrent repus, rassasiée de plaisir en s'embrassant tendrement.

Moi j’étais là ,mon sexe dans ma main tendu et gonflé à l’extrême. J'avais une envie folle de jouir moi aussi, mais que faire ?

A VOUS D'INVENTER UNE SUITE OU ON LAISSE COMME CELA ?

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À propos

Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.