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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.

05 Feb

Noir et blanc

Publié par Sandro Nino  - Catégories :  #pieds

Noir et blanc

Il était une fois il y a fort longtemps dans le royaume de Perse, un jeune Sultan très riche et très beau qui avait peine à prendre une épouse tant il était indécis. Il passait ses journées à chasser dans les ses terres, à jouer à divers jeux de société, il fréquentait les salons de lecture, donnait des fêtes somptueuses, enfin il passait son temps à tout ce qu’une personne digne de son rang pouvait s’adonner. Il disposait de beaucoup de courtisanes qui se prêtaient volontiers à assouvir ses besoins sexuels. On lui apportait dans ses appartements, de bien belles et jolies femmes, mais à chaque fois il n’était qu’à demi satisfait. En effet il avait une particularité peu commune, il avait une totale vénération pour les jolis pieds féminins, et bien souvent les jeunes filles avec qui il faisait l’amour n’avaient pas à proprement parler de jolis pieds, selon ses propres critères, bien entendu.

Las de cette vie oisive, il prit la décision de se marier afin aussi de concevoir un héritier. Alors il fit placarder dans tout le royaume l’affiche suivante : « Le Sultan Jahangir recherche sa future épouse. Elle ne devra pas être nécessairement riche, mais sera jeune et jolie et surtout avoir de jolis pieds, fins et gracieux. Une sélection sera organisée au palais à la prochaine lune. Qu’on se le dise ! «

La nouvelle fit très vite le tour de la cité, et même bien plus loin encore. Quelle jeune fille ne rêvait-elle pas d’épouser le jeune et beau Sultan Jahangir ?

Le jour de la sélection arriva très vite. Le Sultan grâce à des dessins qu’il avait fait lui-même, donna une représentation graphique de la beauté physique féminine, à chacun de ses sélectionneurs qu’il avait choisi lui-même pour leur finesse d’esprit et leur goût de l’esthétique. Une foule impressionnante de jeunes filles arrivèrent de toutes parts. La première sélection dura trois jours et trois nuits tant il y avait de prétendantes. En effet plus de 7000 personnes se présentèrent. Elles étaient donc sélectionnées par leur beauté physique, la finesse de leurs corps et de leurs traits, les courbes harmonieuses de leurs corps. Beaucoup furent renvoyées dans leur foyer non sans avoir reçu 5 pièces d’or en dédommagement. Il restait en tout et pour tout 250 femmes pour satisfaire à la dernière étape de la sélection. On leur demanda de préparer leurs pieds le plus joliment possible afin de les présenter au Sultan. Elles avaient la journée du lendemain pour soigner leurs pieds, une grande salle leur fut attribuée avec à leur disposition une armée de servantes disposées à passer crèmes, onguents, gommages, huiles essentielles.

Le lendemain le Sultan lui-même se déplaça dans la salle de bal du palais, et toutes les demoiselles s’assirent sur des fauteuils jambes croisées toutes tremblantes. Au signal donné, on leur demanda de se déchausser. Le Sultan pris son temps, il détailla chaque personne et chaque paire de pieds avec minutie. Qui avait de trop grands pieds, qui de trop petits, qui avait des durillons malgré la séance de soins, qui avait les orteils tordus, qui avait la plante de pieds pas assez lisse… A la fin de la journée seul 26 femmes purent rester dans le palais, les autres furent congédiés non sans avoir reçu 20 pièces d’or.

Ces 26 femmes purent rejoindre chacune leur appartement privé. Elles étaient toutes plus jolies les une que les autres, minces sans exception, poitrines généreuses mais sans excès, des jambes magnifiques, jolis yeux, bouches sensuelles, des fesses fermes et joliment rebondies. Leurs pieds étaient d’une beauté exceptionnelle, ils étaient d’une esthétique parfaite, les orteils superbement dessinés, bien alignés, des ongles de bonnes tailles, une peau douce et soyeuse, des plantes et des talons superbes. Le Sultan était très embarrassé, il ne savait laquelle choisir pour femme, alors comme il n’était pas très pressés il eu l’idée suivante :

Il leur commanda à chacune une paire de babouche faite par le meilleur manufacturier de la ville, et dans le meilleur cuir du royaume. Elles devaient les porter pendant trois mois, du soleil levant au soleil couchant, sans jamais les retirer sous peine d’être renvoyer immédiatement, sauf de temps en temps lorsque dans la journée, elles devaient aller au Hammam ou aux piscines du Sultan. Ainsi aux yeux du souverain elles étaient sur un terrain d’égalité parfaite, puisqu’elles avaient toutes de jolis pieds, alors l’odeur de leurs pieds les départagerait. En effet portées le même nombre d’heures, dans le même cuir, les babouches allaient révéler l’essence suprême de leur corps.

Pendant tout ce temps elles pouvaient faire toutes sortes de jeux, elles apprenaient aussi à broder, un enseignement de qualité leur était aussi dispensé car le Sultan avait une immense culture. Elles apprenaient à jouer à divers jeux de société, apprenaient à danser, allaient dans des salons de causeries, où d’ailleurs le Sultan commença à les connaître et à les apprécier. Il ne les contraignit jamais à faire l’amour, il leur était simplement demandé que le soir au coucher lorsque chacune rejoignait sa chambre, de laisser leurs babouches devant une des portes des 26 chambres mais jamais la leur. Ainsi un certain secret était entretenu pour le plus grand plaisir du Sultan.

Ainsi la nuit il arpentait ce long couloir et s’enivrait des odeurs qui s’émanaient de ces babouches. Il pouvait constater la progression de l’intensité des odeurs avec le temps qui passait, la différence de chacune de ces odeurs, mais il ne pouvait pas savoir à qui chaque paire appartenait.

Les trois mois passés, le grand jour arriva. Elles se rassirent dans les fauteuils, chaussées, bien évidemment. Le Sultan passa la journée entière à retirer doucement les babouches odorantes, à humer et à lécher ces magnifiques pieds, à les caresser avec délicatesse, il leur demanda aussi de lui caresser son sexe avec leurs pieds. Les jeunes femmes étaient très étonnées de voir l’effet spectaculaire que ce petit jeu produisait sur le sexe du Sultan. Gâté par la nature, son généreux sexe se dressait fièrement vers le plafond, et parfois il jouissait dans de longs jets puissants et brûlants sur ces pieds sublimes. Il reconnaissait ici et là les odeurs qu’il avait sentit dans les babouches pendant ces trois mois. Le soir arrivé, bien qu’il fût très difficile de prendre une décision, il en choisit pourtant une qui combinait tous les ingrédients de son excitation : La beauté physique, la beauté des pieds, l’odeur la plus sublime la plus subtile, qui s’avérait ni trop forte ni pas assez, et ce petit goût salé des plantes.

La semaine suivante une grande fête fût organisée pour le mariage, ou mille personnes furent invitées. Les 25 autres filles rejoignirent leur foyer non sans avoir reçu chacune 200 pièces d’or. Elles gardèrent un souvenir impérissable de ces mois passés au palais.

A partir de ce jour beaucoup de femmes du royaume prirent un soin beaucoup plus attentifs à leurs pieds, des salons d’entretien pédicures s’ouvrirent un peu partout dans la cité, et les hommes découvrirent que les pieds des femmes peuvent être appréciés et cajolés.

Ce que le Sultan Jahangir ne dit pas à ses confidents, est qu’il garda trois autres femmes sur les 25 renvoyées. Il les installa dans des somptueuses demeures et de temps à autres allait leur faire l’amour ou tout simplement s’occuper de leurs jolis pieds. Elles prirent un goût prononcé pour ces jeux érotiques et passaient beaucoup de temps à attendre sa venue car il leur procurait à chaque fois des immenses plaisirs, tendre et délicats.

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Jolies femmes aux jolis pieds je vous aime du plus profond de mon être. J'aime votre regard de biche, ou de braise, malicieux ou joyeux, voluptueux ou sensuel. J'aime votre poitrine généreuse ou menue, à la peau douce halée ou laiteuse, vos tétons turgescents, vibrants à la moindre alerte de vos sens en émoi. J’aime vos jambes fines et interminables, véritables compas sur la terre arpentant le globe terrestre en tous sens, afin de lui donner son équilibre et son harmonie (François Truffaut). J’aime votre sexe pulpeux à souhait aux lèvres charnues, que j’aime happer dans ma bouche gourmande. Et vos pieds ! Terminaison de votre corps sublime. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par la vue, ces jolis orteils bien dessinés et délicats, cette courbe harmonieuse de vos divines plantes, chaussés de sandales laissant admirer la perfection que la nature vous a donné. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’ouïe, se crissement que j’entends les yeux fermés lorsque vos jambes et vos pieds ornés de fins bas nylon, se frottent l’un contre l’autre. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le toucher lorsque mes doigts caressent doucement la peau fine de vos pieds, qu’ils effleurent. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par le goût lorsque ma langue parcours la douce peau de vos plantes et que mes pastilles gustatives se délectent de cette saveur salée et piquante. Ces jolis pieds qui me rendent fou de bonheur par l’odorat lorsque mes narines affolées se trouvent envahies par cette odeur enivrante, odeur qui vous est propre comme une combinaison chimique unique.