Mon rêve de cette nuit
Nous avions rendez-vous à la gare de Grenoble. C’était un soir d’hiver, de la brume envahissait le quai, la locomotive crachait ses fumées et des jets de vapeur fusaient des roues métalliques. Tu m’attendais au bout du quai, merveilleuse jeune fille aux cheveux blonds, au visage angélique. Je remarquais que malgré le froid tu portais une robe beige avec des bas couleurs chair, et de superbes escarpins assortis.
Après quelques échanges de banalités, tu me proposais d’aller boire un verre dans un pub pas très loin de la gare. En chemin j’entendais tes talons résonner sur l’asphalte, c’était très envoutant.
Bientôt nous pénétrâmes dans le pub et nous nous installâmes au fond de la salle, dans un coin retiré et discret, où résonnait un bon vieux jazz. Nous nous regardions intensément, parlions peu, seuls nos échanges de regards confirmaient notre attirance l’un vers l’autre. Soudain tu me saisis et tu m’embrassas suavement. Ta bouche était chaude, ta langue experte, j’étais fou de bonheur.
Au bout d’un moment tu te déchaussas et tu posas un pied sur ma banquette juste entre mes jambes avec un petit sourire coquin. Je saisis bientôt ton pied et je le caressai doucement, ce qui semblait te ravir. Bientôt tu fis tomber (sans doute volontairement) un paquet de mouchoir et tu me demandas de le ramasser car il était juste entre mes jambes. Je ne me fis pas prier, et en prenant mon temps je saisis l’objet. Mes narines arrivèrent juste à la hauteur de tes pieds incroyablement beaux et sexy, vernis d’un rouge éclatant. Tes bas dégageaient une douce odeur, à la fois présente mais délicate, incroyablement féminine. Je restais un long moment faisant semblant de ne pas trouver le paquet de mouchoir, à humer tes merveilleux effluves, puis tu retiras ton pied.
Bientôt je te vis trafiquer quelque chose sous la table et tu fis à nouveau tomber un autre objet. Tu me fis un petit clin d’œil narquois et je me penchai à nouveau sous la table. Et là, je vis ton pied nu, merveilleusement beau, tu remuais tes orteils dans tous les sens.
Je saisis alors tes superbes orteils dans ma bouche et je me mis à les sucer un par un, délicatement, tendrement, léchai tes plantes de pieds douces et légèrement odorantes. J’entendis tes soupirs de satisfactions et je me suis réveillé, dans un état…second.